Winston Churchill est à la fois un homme politique, un soldat, un artiste, et le plus célèbre Premier Ministre britannique du XXe Siècle. Son père se nomme Lord Randolph Churchill, un homme politique des Tories du XIXe Siècle. Il naît le 30 novembre 1874 et est éduqué à Harrow et au Collège militaire royale de Sandhurst, après qu'il ait fait son service en Inde et au Soudan et tenu une libre correspondance de guerre. Il épouse Clémentine Hozier et a un fils et quatre filles.
Churchill quitte l'armée en 1899 pour se mettre à la politique, mais il voyage d'abord en  Afrique du Sud en tant que journaliste. Bien que fait prisonnier dans les Boers, il fait audacieuse évasion et repart en sécurité en dépit du prix de sa tête. Sa renommée conséquente ne doute pas d'aider son succès en tant que candidat parlementaire conservateur à Oldham en 1900.
Churchill est instinctivement indépendant, serviable pour travailler avec le côté étant d'accord avec ses buts. Ainsi sa position contre me protectionnisme le conduit à rejoindre les Libéraux en 1904. En tant que Président du Commerce dans le gouvernement libéral d'Asquith, il constitue des échanges de travail et l'assurance pour les chômeurs. En tant que ministre de l'Intérieur en 1910, il améliore la sécurité dans les mines et empêche l'emploi de jeunes mineurs, bien qu'il déçoive les radicaux en déployant l'armée au pays de Galles durant une grève de mineurs.
En 1911, il est nommé Premier Lord de l'Amirauté, et s'assure que la Navy soit prête pour le déclenchement de la guerre en 1914. Cependant, il est blâmé pour l'échec de la Campagne des Dardanelles en 1915 et est rétrogradé dans le coalition du gouvernement. Il démissionne de son poste et rejoint le front.
En 1916, Lloyd George le nomme Ministre des Munitions ; c'est à ce poste qu'il développe l'utilisation de tanks dans la guerre. En 1918, il assure la responsabilité de la démobilisation.
Il retourne au parti Conservateur dans les années 1920 et passe cinq années comme Chancelier de Stanley Baldwin, mais il se brouille de nouveau avec son parti. Impopulaire et frappé d'ostracisme durant une décennie, ses recommandations aux Back Benches (les députés qui sont les plus éloignés de l'allée centrale de la Chambre des Communes et n'ont pas de portefeuille ministériel) au sujet de l'impérialisme fasciste ne sont pas prises au sérieux. Il a été dit qu'à cette époque son influence est tombée à zéro. Toutefois, la politique d'apaisement de Chamberlain échoue, conduisant à sa résignation et justifie la position de Churchill. C'est pourquoi, le roi George VI deman,de à Churchill de former un gouvernement en 1940, à l'âge de 65 ans.
Demandant à la Chambre des Communes sa confiance dans se petite guerre de Cabinet, il dit : « Je n'ai rien à offrir mais le sang, un dur travail, des larmes et de la sueur ». Sa rhétorique évocatrice et remuante, employée dans de nombreux discours devenus célèbres, est vue comme représentant l'âme de la Grande-Bretagne en temps de guerre et est essentielle pour garder le moral national. Il est renommé à son poste comme un grand personnage et un grand leader mais est un homme paradoxal. Possédant d'étonnantes visions, il fait également des erreurs dévastatrices. Néanmoins, il mène l'Angleterre à la victoire contre l'Allemagne le 8 mai 1945.
Suivant la voie du Labour dans les élections d'après-guerre de 1945, un étonnant Churchill prend la conduite de l'opposition conservatrice. Il sert quatre ans comme Premier ministre en temps de paix. La seconde administration Churchill n'a pas réalisé ses espoirs de mettre fin à la Guerre Froide. En contraste aux choix austères de la Seconde Guerre Mondiale, il trouve les problèmes face à la Grande-Bretagne de l'après-guerre évasive et intangible.
Frustré et de santé fragile, il démissionne en 1955, âgé de 81 ans. Suivant sa mort en 1965, le corps de Churchill est déposé pendant trois jours à Westminster Hall avant ses funérailles.
A Mouvaux le vendredi 6 août 2004,
Benjamin HUS |
